Quatrième de couverture

Chapitre 2 « Éclat lumineux ».

2 octobre 1964. 9 heures. Aéroport Haneda de Tokyo. Shin’ichi Yamamoto entame un nouveau voyage pour la paix. Après une escale à Hong Kong, Bangkok marque la première étape. Puis, direction Téhéran pour encourager Miki Ota, employée dans un restaurant chinois, la seule pratiquante d’Iran. Le 5 octobre, Istanbul, afin d’acheter des matériaux de construction pour le Sho-Hondo. Le 6, Shin’ichi et le groupe qui l’accompagne posent le pied en Europe. Rome, Paris, Prague, Budapest, Zurich, Oslo et Copenhague. Dans la ville lumière, Shin’ichi fait notamment la connaissance de deux peintres japonais venus tenter leur chance : Shotaro Hasebe et Shinsaku Haruno.

Au fil des chapitres ...

Suite de La Révolution humaine, qui couvrait les années d’après-guerre et l’essor du mouvement au Japon autour de Josei Toda, deuxième président de la Soka Gakkai, La Nouvelle Révolution humaine retrace l’histoire de cemouvement bouddhique à partir du 2 octobre 1960. Ce jour-là, le jeune Daisaku Ikeda, sous les traits de Shin’ichi Yamamoto dans le roman, s’envole pour la première fois à l’étranger, en tant que troisième président. Ce premier pas allait s’avérer être lepoint de départ d’une vaste transmission des valeurs humanistes du bouddhisme de Nichiren à travers le monde, aujourd’hui présent dans 192 pays et territoires.