

19 octobre 1964. Shin’ichi Yamamoto rentre de son voyage en Europe alors que le Japon entier s’enflamme pour les 18es Jeux olympiques, qui se déroulent à Tokyo. Ces Jeux confortent Shin’ichi dans sa conviction que les différences de nationalité, de culture et d’idéologie n’existent fondamentalement pas entre les êtres humains.
19 octobre 1964. Shin’ichi Yamamoto rentre de son voyage en Europe alors que le Japon entier s’enflamme pour les 18es Jeux olympiques, qui se déroulent à Tokyo. Ces Jeux confortent Shin’ichi dans sa conviction que les différences de nationalité, de culture et d’idéologie n’existent fondamentalement pas entre les êtres humains.
Le 1er décembre, il se rend sur l’île d’Okinawa. En ce lieu marqué par la Seconde Guerre mondiale, il débute la rédaction de La Révolution humaine, qui paraîtra en feuilleton dans le journal Seikyo à partir du 1er janvier 1965. Il a bien conscience que, à travers la rédaction de ce roman, il s’est embarqué dans un long et difficile voyage. Mais dans son cœur brûle une grande détermination.
Suite de La Révolution humaine, qui couvrait les années d’après-guerre et l’essor du mouvement au Japon autour de Josei Toda, deuxième président de la Soka Gakkai, La Nouvelle Révolution humaine retrace l’histoire de cemouvement bouddhique à partir du 2 octobre 1960. Ce jour-là, le jeune Daisaku Ikeda, sous les traits de Shin’ichi Yamamoto dans le roman, s’envole pour la première fois à l’étranger, en tant que troisième président. Ce premier pas allait s’avérer être lepoint de départ d’une vaste transmission des valeurs humanistes du bouddhisme de Nichiren à travers le monde, aujourd’hui présent dans 192 pays et territoires.