

Janvier 1965. Un mois particulièrement important pour les publications du mouvement Soka. À partir du 1er janvier, la revue Débats publie des extraits du journal intime que Shin’ichi Yamamoto a tenu,jeune homme, sous le titre Pages de mon journal de jeunesse.
Janvier 1965. Un mois particulièrement important pour les publications du mouvement Soka. À partir du 1er janvier, la revue Débats publie des extraits du journal intime que Shin’ichi Yamamoto a tenu, jeune homme, sous le titre Pages de mon journal de jeunesse. L’année s’ouvre également avec la parution en feuilleton du roman La Révolution humaine dans le numéro du Nouvel An du Seikyo Shimbun. Le Seikyo se prépare à accomplir un gigantesque bond en avant : devenir un quotidien en quelques mois. Un challenge de taille pour ce journal destiné à devenir « un épicentre des idées et de la philosophie, un bastion indomptable de la plume éminent dans le monde entier ». Son tirage augmente alors à une cadence vertigineuse et finit par égaler celui des trois plus grands journaux nationaux : Asahi, Yomiuri et Mainichi.
Suite de La Révolution humaine, qui couvrait les années d’après-guerre et l’essor du mouvement au Japon autour de Josei Toda, deuxième président de la Soka Gakkai, La Nouvelle Révolution humaine retrace l’histoire de cemouvement bouddhique à partir du 2 octobre 1960. Ce jour-là, le jeune Daisaku Ikeda, sous les traits de Shin’ichi Yamamoto dans le roman, s’envole pour la première fois à l’étranger, en tant que troisième président. Ce premier pas allait s’avérer être lepoint de départ d’une vaste transmission des valeurs humanistes du bouddhisme de Nichiren à travers le monde, aujourd’hui présent dans 192 pays et territoires.